Jeune femme assise entourée de lumières de bougies pour la Samhain, article sur la sabbat de Samhain chez Le Chêne Enchanté

Bonjour mes Lumineuses et Lumineux 🎃🦉🐈‍⬛👻🕯 ,

Ce jour et pour quelques jours, nous célébrons le Sabbat de Samhain, connu sous le nom du « nouvel an sorcier“, qui est un des sabbats majeurs dans la roue de l’année. Il est célébré autour du 31 octobre dans l’hémisphère nord. Il fait partie des trois “fêtes des Moissons” (Lughnasdh la première, Mabon la deuxième et Samhain la troisième).

Il est le dernier des trois fêtes des moissons et prend place entre l’équinoxe d’automne (Mabon) et le solstice d’hiver (Yule). Nous nous devons de terminer les récoltes, de ramasser les derniers fruits des graines que nous avons semés.

Pendant cette célébration, le voile entre les mondes des vivants et des esprits s’affine, s’ouvre, laissant ainsi la magie se déployer. Cette nuit est une nuit de transitions, d’offrandes et de pouvoir, elle clôt l’année écoulée et débute une nouvelle année sorcière.

Samhain est associé traditionnellement dans la mythologie celtique et plus particulièrement irlandaise à la Crone/Cailleach. La Crone est représentée sous les traits d’une vieille femme dans la symbolique de la triple déesse lunaire. Cette fête personnifie le retour de la Déesse dans le ventre de la Terre-Mère pour y mourir afin d’y être fertilisée avant de renaître.

Représentation de la Crone/Cailleach en statuette pour étayer l'article de Samhain chez Le Chêne Enchanté
Représentation de la Crone/Cailleach et ses attributs

Ce sabbat marque l’heure du bilan mais également la cohabitation entre la vie et la mort. Nous nous devons de réfléchir sur l’année qui s’est écoulée en notant tous ses bienfaits mais aussi les moments moins joyeux. Avons-nous eu des récoltes fécondes ? Nos espérances et nos actions ont-elles trouvées un écho à notre monde ?

Nous nous devons de nous connecter une dernière fois pendant cette année à l’invisible, à l’indescriptible, aux esprits, aux mystères et à la magie afin de commencer le passage entre les deux mondes. Nous sommes appelés à nous rattacher à notre ancien nous dans l’ancien monde symbolisé par la « destruction » (l’ancien meurt) et à la revivification, au réveil de notre nouveau nous symbolisé par la « renaissance » (nouveaux projets, nouvelles capacités).

Nous nous devons d’honorer nos ancêtres, notre lignée avec sagesse, amour et lumière. Nous voyageons, voguons sur les énergies du surnaturel du monde des esprits et sur nos mondes physiques, matériels pendant la durée de ce sabbat.

Mais Samhain porte également d’autres noms à travers les différents siècles et civilisation tels que « le Jour des morts« , « la Toussaint« , « la fête des pommes« , « So-weîn« , « Sow-in« , « Sah-vin » ou « Sahm-hayn« .

Célébration de la Samhain dans la nature.

Petit point historique, les origines de Samhain.

Le sabbat de Samhain remonte aux vieilles légendes celtiques et irlandaise. ll provient du vieux gaélique irlandais et se traduit par la «  fin de l’été« . Il marque le début de la saison sombre et est considéré comme la fin de l’année païenne, symbolisant la transition de la saison claire et chaude à la saison sombre et froide. La lumière décroît et l’obscurité prend le dessus.

  • Chez les celtes, ce sabbat est considéré comme le « nouvel an ». Cette célébration se passait sur trois nuits durant le mois appelé « Samonios ». C’était une période hors du temps, qui n’appartenait ni à l’année écoulée ni à celle qui allait commencer. Les anciens druides honoraient les morts pendant la Samhain connue également sous les noms de « la Samhna« , « Sauin« , « Souney« , « Calan Gaeaf« , « Calan Gwef » ou encore « Nos Cyn Calan Gual« . C’était un festival du feu et des feux de joie étaient allumés à proximité des champs. Les archéologues et les celtologues ont retrouvé des traces de banquets rituels organisés par les druides pendant ces quelques jours de fête.

Le premier jour de Samhain était consacré à la mémoire des héros, le deuxième à celle de tous les défunts, et le troisième aux réjouissances populaires et familiales marquées par des réunions, des banquets, des festins de toutes sortes qui se prolongeaient pendant une semaine.

Dans la mythologie celtique irlandaise nous retrouvons au moment de Samhain, la deuxième bataille de Moytura/Cath Maige Tuired. Il est l’un des textes médiévaux le plus important concernant cette époque. Cette guerre opposa les Túatha Dé Danann et le Fomoire. Les « Aos Si » décrits comme des fées furent poussés sous terre alors qu’ils avaient l’habitude de passer librement de l’au-delà au royaume humain. Les « Aos Si » dits « gens des collines creuses », vivaient dans des sídh (anciens monticules funéraires vus comme des portails vers l’au-delà). Et pendant la Samhain, ces portails s’ouvraient au monde humain, et l’on pouvait observer les feux allumés à l’intérieur, et les personnes des sídh aller et venir.

Dans le conte de « Fionn Mac Cumhaill« , personnage populaire de l’Irlande médiévale, alors que ce héro étudiait la poésie avec « Cethern, fils de Fintan« , celui remarqua lors de la Samhain que Cethern se rendait à un sídh précis où vivait la Fée Éle. La légende raconte que cette fée était la plus belle de toute l’île d’Irlande et qu’aucun de ses prétendants ne l’impressionnaient. Beaucoup d’hommes mouraient à chaque Samhain en tentant de la séduire. Fionn n’accepta pas tous ces morts, et à la Samhain suivante se cacha dans la vallée près du sídh d’Éle. Dans l’obscurité, il vit les monticules avec la lumière des feux émanant de leurs portes. D’après la légende, Fionn tua Ele afin de venger la mort de ses amis et gagna le respect du petit peuple.

La veille de la nuit de Samain, une cérémonie de la renaissance du feu était fêtée. Les feux de l’âtre des cheminées étaient éteints et la population se rassemblait à la nuit tombante sur la place où les druides procédaient à l’allumage d’un nouveau feu sacré en frottant quelques bois secs du chêne sacré. Ils allumaient par la suite de grands feux de joie sur les collines environnantes pour éloigner les esprits malfaisants. Par la suite, les druides donnaient à chaque couple, quelques braises tirées du nouveau feu sacré pour rallumer un nouveau feu dans l’âtre de leur maison. Ce nouveau feu devait durer jusqu’à la prochaine Samhain pour ainsi protéger tout au long de l’année la maison et ses habitants.

Les celtologues ont également retrouvé notamment dans le folklore irlandais, une coutume concernant des poupées jetées dans le feu à la Samhain. Les enfants confectionnaient des poupées en paille ou en tissu pour symboliser des esprits ou des divinités qu’ils brûlaient lors des grands feux de Samhain afin d’apaiser les esprits, les divinités pour s’assurer de leur bienveillance pendant la saison sombre. Cette poupée était considérée comme de la divination car l’état de la poupée après avoir été brûlée, prédisait l’avenir.

Mais pendant la Samhain d’autres fonctions très importantes avaient lieu au coeur de chaque ville. Les archéologues et celtologues ont retrouvé des écrits datant de l’époque romaine où ces trois fonctions sont codifiées. La première étant la fonction dite sacrée réalisée par les druides qui allumaient le feu et pratiquaient les sacrifices tels que les oblations végétales ( la cueillette du gui en Gaule) et sacrifice animal notamment le taureau. La deuxième fonction était d’ordre administrative et légale. Il s’agissait ici de renouveler les pouvoirs du roi. Pour ce faire, de nombreuses réunions étaient organisées et avaient pour but de remettre de l’ordre dans la justice et l’administration royales. La dernière quant à elle, était la fonction des banquets. Ces banquets étaient composés exclusivement de porcs cuits, de bières, d’hydromel et de vin. Le porc chez les Celtes était un animal sacré considéré comme magique car il était sensé rendre immortel. Des chants et de la musique couronnés les festivités.

Feu de la Samhain, article chez Le Chêne Enchanté
Feu de la Samhain, un hommage rendu aux anciens
  • Dans les pays nordiques, la nuit de l’hiver se tient le 31 octobre, elle marquait la fin de l’été, les norois rendaient ainsi hommage à leurs ancêtres, à la terre et la remerciaient pour les dernières récoltes. Ils honoraient la mort et la sagesse. Dans les temps anciens, ils bénissaient la récolte en laissant dans les champs les boisseaux restants jusqu’à la Nuit des Walpurgis où la chasse sauvage commençait à régner sur la nuit.
La nuit des Walpurgis article sur Samhain chez Le Chêne Enchanté.
La nuit des Walpurgis ou fête des sorcières.
  • Chez les romains après la romanisation de toute la Gaule, l’empereur comprit que pour que la domination romaine soit acceptée par les Celtes et notamment les Gaulois (les français aujourd’hui), il fallait aux romains faire coïncider les fêtes celtes et les fêtes romaines. De ce fait, la Samhain des celtes devint les « Feralia« , c’est à dire la « fête des morts » des romains.

Cette fête des morts dans la Rome antique était célébrée à Rome en février en l’honneur des morts. Elles suivaient les « Parentalia » où les romains rendaient des hommages publics aux « Mânes » (les âmes des êtres décédés et qui appartiennent aux « di inferi » c’est à dire « ceux qui habitent en bas « ). La mythologie romaine raconte que l’Empereur Auguste aurait fait rétablir la tradition des Feralia à la suite de la peste par laquelle les Mânes se seraient vengés de l’oubli.

D’après une lettre retrouvée par les archéologues du philisophe Ciceron, le jour des Morts chez les romains était le 21 février. Ces fêtes commençaient le 13 février avec la « Parentatio Virginis Vestalis« , suivaient les « Parentalias » qui étaient des jours destinés à honorer dans le privé, le cercle familial, les morts et se terminaient par les « Caristia » ou « Cara Cognatio« , le 22 février. Cette dernière fête était destinée à resserrer les liens entre les vivants dans les familles après avoir rendu hommage aux morts.

Les archéologues ont retrouvé des traces d’hommages et de rituels lors des Feralia. Le déroulé des rituels était le suivant. Pendant ces fêtes, aucun commerce n’était ouvert, les temples devaient rester fermés et les autels éteints. On ne se mariait pas. Les autres dieux du panthénon romain n’étaient pas célébrés, les romains cherchaient à apaiser les Mânes en déposant sur leurs tombes des offrandes tels que des fleurs dans des vases, des fruits, des grains de sel, des prières étaient également récitées afin d’apaiser les âmes des défunts dans les enfers.

Epitaphe romain rendant hommage aux mânes lors des Feralia, article su Samhain chez Le Chêne Enchanté.
célébration des Feralia, hommage aux mânes.
  • L’arrivée du christianisme en Europe.

C’est sous l’Empire romain que le christianisme arrive en Europe. Les chrétiens arrivaient en Europe sous l’Empire refusent de respecter le culte impérial et affirment que leur dieu est le seul dieu véritable. Ils sont alors persécutés en 326 et massacrés dans les jeux du cirque jusqu’à ce que l’Empereur Constantin Ier dit Le Grand pris de violents remords après avoir fait asassiner son fils aîné Crispus et sa seconde épouse, Fausta, chercha un moyen de s’absoudre de ses crimes. C’est alors qu’en 312, l’Empereur devint le premier empereur romain à se convertir au christianisme. En 313, par l’Edit de Milan, il promulga la fin des persécutions gouvernementales contre les chrétiens et fit du christianisme une religion reconnue et légale par l’Empire. En 392, l’Empire romain est entièrement converti au christianisme. Cette conversion sert à justifier un ordre politique autoritaire s’exerçant au nom du Dieu unique.

Les Feralia et Samhain ne devaient plus exister, les anciens cultes devaient disparaître.

Or, les anciens celtes continuaient de célébrer Samhain ainsi que les autres sabbats notamment en Irlande et en Gaule. L’Eglise sous l’égide du pape Boniface IV tenta d’effacer les festivités de Samhain qui demeuraint très fortes dans l’ancien terriroire celte en créant la « fête des Saints et des Martyrs » qui devait être célébrée tous les 13 mai.

Mais cela ne fonctionna pas, les fêtes païennes étaient toujours célébrées par les celtes.

En 731, le pape Grégoire IV décida de consacrer une chapelle dans l’église de Saint Pierre en l’honneur de tous les saints et déplaça la « fête des Saints et des Martyrs » au 1er novembre. Ce même pape vint en France en 837 sous le règne de Louis le Débonnaire et inscrivit la Toussaint au calendrier lithurgique universel. La Samhain des celtes au Moyen Age devint une fête qui précédait la Toussaint imposée par le pape Grégoire IV, la « fête de tous les saints« , devint en langue anglaise « the evening of all Saints’ day« .

Au cours du Moyen Age, la tradition de la Samhain s’effaça peu à peu en France au profit de la Toussaint pour disparaître complètement et ne demeurer qu’en Irlande.

L’usage de racheter par les aumônes et les prières des vivants les peines des morts, de délivrer leurs âmes du purgatoire, s’introduisit au XI ème siècle. Selon la légende du « conte de la fête des morts » de Saint Pierre Damien, un pélerin qui revenait de Jérusalem échoua par un nuit de tempête sur une île voisine de la Sicile. Il y rencontra un ermite qui vivait dans une grotte. Cet homme qui ne possédait rien reçu le pélerin avec les honneurs et demanda à celui-ci des nouvelles de l’abbaye de Cluny et de son abbé, Odilon. Il informa que l’île où le pélerin avait échoué, était habitée par les diables où ceux-ci plongeaient les âmes des trépassés dans les flammes en maudissant l’abbé Odilon et son abbaye. L’ermite demanda au pélerin de raconter cette histoire à l’abbé Odilon afin que celui-ci redouble de prières aussitôt qu’il rentrerait en France. Odilon afin de calmer la colère de tous les diables, établit que chaque année, le second jour de novembre, le lendemain de la « fête de tous les saints« , une commémoration de tous les fidèles défunts devra avoir lieu dans tous les monastères.

Ainsi fut initiée en 1031 dans le couvent de Cluny, la « Fête des morts« , que l’Eglise adopta et institua en 1048.

Lumière, lanterne de cimetière pour la toussaint, article sous samhain chez Le Chêne Enchanté.
Lanterne de la Toussaint
  • L’exode des celtes irlandais vers les USA

En 1845, provenant d’Europe continentale, le mildiou, un oomycète parasite appelé Phytophthora infestans, allié à l’humidité du climat, provoqua une forte chute, de l’ordre de 40 %, de la production de pommes de terre et entraîna une famine d’une grande ampleur, alors qu’un tiers de la population dépendait. Les petits agriculteurs catholiques en furent les principales victimes et fuièrent par milliers. Entre mai et novembre 1847, des dizaines de milliers d’Irlandais quittèrent le Royaume-Uni. Alors que l’île compte 8,5 millions d’habitants en 1841, la Grande Famine provoqua la mort de 1 million de personnes avec une surmortalité supérieure à 10 %. Deux millions d’entre eux quittèrent le pays et se dirigèrent vers le Canada, les États-Unis, la Grande-Bretagne et l’Australie. Les Irlandais s’embarquèrent sur des cargos vides où ils s’entassèrent par centaines dans des conditions déplorables.

Représentation de statues d'irlandais victimes de la grande famine au 19ème siècle, article sur Samhain chez Le Chêne Enchanté.
Monument d’hommage aux Irlandais pendant la grande famine, à Dublin, Irlande.

Lorsqu’il furent arrivés aux Etats-Unis, les Irlandais avaient emmené avec eux contes et légendes de leur folklore ainsi que les célébrations des sabbats y compris de la Samhain qui n’avait pas disparu de l’Irlande. Parmi leurs légendes, nous retrouvons celle de Jack O’Lantern au XVIII ème siècle, débauché de son vivant qui se voit refuser l’entrée du paradis et de l’enfer le condamnant ainsi à errer sur terre chaque 31 octobre. Cet esprit erre avec une lanterne creusée dans un navet qu’il était en train de manger où il place une bougie à l’intérieur pour éviter que le vent ne l’éteigne.

Dans la tradition irlandaise pour guider l’âme des défunts vers le paradis et repousser les mauvais esprits, les irlandais creusaient de grosses pommes de terre, des navets, qu’ils illuminaient avec des bougies pour créer des lanternes. A leur arrivée aux Etats-Unis, la pomme-de-terre était absente et ils prirent à la place des gros cucurbitacées tels que les citrouilles et les potirons afin de confectionner leurs lanternes. Les ethnologues ont découvert à travers différents écrits que les irlandais se réunissaient en famille ou par quartiers le soir de la Samhain afin de célébrer et d’honorer leurs morts.

Citrouille gravée, article sur Samain chez Le Chêne Enchanté.
Citrouille gravée en l’honneur de la Samhain, hommage aux ancêtres
  • Vers notre siècle.

Après l’arrivée des irlandais et leurs légendes aux Etats-Unis, la fête de tous les saints, « the evening of all Saints’ day » devint en forme contractée « All Hallow’s Eve » signifiant « veille de la Toussaint » pour finir un siècle après par devenir, « Hallowe’en ».

C’est vers la fin du 20e siècle, qu’une société française spécialisée dans le déguisement rapporta sur le territoire et en Europe, la Samhain et Hallowëen. L’industrie alimentaire américaine relaya cette fête peu de temps après afin de réimplanter définitivement Samhain en Europe et Halloween en France.

Nous connaissons tous et toutes depuis des années, la célébration d’Halloween avec les enfants déguisés venant frapper aux portes en clamant « des bonbons ou un sort » mais beaucoup d’entre nous confondent toujours la Samhain avec Halloween qui sont pourtant deux fêtes bien distinctes. Il est important de faire la différence entre Samhain et Halloween. A Samhain, on honore l’esprit de nos morts, défunts, on les accueille pour les apaiser, partager un repas avec eux, leurs écrire, les guider vers nous pour leurs parler et ainsi célébrer du 30 octobre au 4 novembre, le passage de la fin de l’année à la nouvelle année sorcière. A Halloween qui est une contraction de « tous les saints », « la Toussaint » qui se fête le 1er novembre, on se déguise pour chasser les mauvais esprits et chasser notre peur de la mort.

Citrouille en seau et bonbons pourla nuit d'halloween, article sur samhain chez Le Chêne Enchanté.
Seau en forme de citrouille et bonbons

Correspondances et symboles.

  • Fruits : pommes, noix et grenades
  • Fleurs et plantes : feuilles de chêne, gui, sauge, romarin, mandragore, feuilles mortes, pommes de pin, châtaignes, chrysanthèmes, soucis, fleurs automnales.
  • Pierres : obsidienne, quartz fumé, onyx, ambre, cornaline.
  • Animaux : chauve-souris, chat, merle, hiboux, chouettes.
  • Runes: hagalaz, nauthiz, wunjo.
  • Bougies : orange, noir, vert (couleurs d’automne), bleu, violet, rouge.
  • Divinités : Hécate (Déesse de la Lune, protectrice des sorcières), Perséphone (épouse du Dieu de la mort et des enfers, Hadès et fille de Déméter), Osiris (Dieu égyptien de l’au-delà), Morrigan (Déesse celte de la mort).
Représentation d'un rituel à Samhain pour apaiser les ancêtres, article chez Le Chêne Enchanté.
Rituel d’apaisement et d’hommage à Samhain

Je vous souhaite un très beau sabbat,

Soyez bénies, bénis 🙏💋

Votre artisane pour Le Chêne Enchanté,

Virginie.

Célébration de la Samhain chez Le Chêne Enchanté
célébration de la Samhain dans la nature, un hommage à nos ancêtres.

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